About Me
- onesilentwinter
- i moved where my heart had drifted off to long before. i live on a hill of hundred acres, where my dreams have merged with the view. it is quiet from machine noises yet loud with sounds of horses, dogs, cats chickens and ducks. nature is the true artist in resident and i am just her apprentice who often gets lost in her gaze. once and a while i travel back to cities and foreign places to put into photographs what i have learned, yet always, part of my heart is left on the hill..
Tuesday, September 30, 2008
Thursday, September 25, 2008
Monday, September 22, 2008
trying to convince you i am not made of stone
i started this blog a year ago, it was a place of my very own, a place i could write things that troubled me; pain, heartache and loss. it was also a place where i discovered that in those things lay something beautiful something that cried desperately to live again fully.
it is a year now and not too much has changed yet nothing is the same, i walk around as if i made of stone and that i will not be affected by peoples actions or words- then feel my heart ache when ohers treat me like so.
i am not made out stone, i am not made out of stone iam not made out of stone... i am not
Friday, September 19, 2008
Monday, September 15, 2008
bees.
i am grateful for the sound of the fiddle you played for me
i am grateful for running into you and your orange shorts
i am grateful for the light that pours into this house
i am grateful for the taste of lemon on my lips
i am grateful for feeling things without feeling things
i am grateful for the tears that are brought on by your harsh words
they gave me a fever.
i am grateful that i am not dead
i am grateful that i am living.
i am grateful that in the rain i do not get wet
i am grateful that is so much more to learn, to feel to express
i am grateful that.........the funniest songs can be played on pandora
i am grateful that i did not kill bees.
i am grateful for running into you and your orange shorts
i am grateful for the light that pours into this house
i am grateful for the taste of lemon on my lips
i am grateful for feeling things without feeling things
i am grateful for the tears that are brought on by your harsh words
they gave me a fever.
i am grateful that i am not dead
i am grateful that i am living.
i am grateful that in the rain i do not get wet
i am grateful that is so much more to learn, to feel to express
i am grateful that.........the funniest songs can be played on pandora
i am grateful that i did not kill bees.
Wednesday, September 10, 2008
i do not like sarah palin
i think it is long overdue to have a woman in the white house but just like if i had not eaten in days, i would not choose to eat a spoon of poison but instead wait for something whole and substantial
mr. john mccain i think you have done good things
but i think that if you were to be honest with yourself
you would see that your time has passed, that being elected
would be a risk for your country and if you put your country first
then you must start now.
dear undecided, i am not sure how that is possible- in good conscious
how can you choose anything but real change, hope and promise?
mr. john mccain i think you have done good things
but i think that if you were to be honest with yourself
you would see that your time has passed, that being elected
would be a risk for your country and if you put your country first
then you must start now.
dear undecided, i am not sure how that is possible- in good conscious
how can you choose anything but real change, hope and promise?
Tuesday, September 9, 2008
Monday, September 8, 2008
dans une boite que je ferme avec une clef-une boite juste pour moi
Nadia,
Je visitais sur la base du hasard ton blogue que je connaissais beaucoup moins, La porte rouge (j'ai compris maintenant que ta couleur de prédilection est le rouge). Bien sûr, il s'agit d'un bien joli blogue, les photographies que l'on y retrouve, comme sur One silent winter, sont exquises et encadrées dans une esthétique qui balaie du revers de la main les bases du formalisme en tant que matériau d'expression. Il s'agit d'une fenêtre ouverte sur ton environnement immédiat et, parfois, plus élargie. Il s'agit, en réalité, de toi. Au moins une lézarde dans une partie de ta vie, et par laquelle, pour nous qui accédons à cet univers, tu te rends à certains égards transparente. Un peu comme le trou dans la serrure d'une ancienne porte. Une porte rouge, oui, si tu veux. Toutefois, cette présentation de la partie de ta vie que tu veux bien offrir suppose un travail de création. Une mise en scène, quoi. On prépare le terrain, on ajoute ceci, on retranche cela. Un peu comme un théâtre, non? Voilà, on pourrait dire que tes blogues prennent la forme d'un véritable théâtre muet. Des images circulent - je dirais même se structurent dans une sorte de parade -, elles passent, elles murmurent sur la base d'un frêle frémissement quelquefois, tu sais, comme une sensation rafraîchissante d'un amour nouveau, le frisson que sa pensée peut procurer en superficie du coeur. Théâtre, donc. Mais tout cet univers théâtral me paraît si construit, si bien aménagé, que j'en reçois aussi, par ailleurs, parfois, un sentiment de fragilité, comme si un filet de brise, un grain de sable qu'il apporterait jusque dans sa mécanique, l'ombre d'un nuage encore pourraient, à tout moment, jeter au sol cette architecture teinte d'un certain art, sinon la briser, du moins en disloquer la structure. Voilà, je sens une grande fragilité entourant l'univers de chacun de tes blogues. Un peu aussi comme une lumière de cristal: le soir finit toujours par survenir et tout se tait. Les rideaux du théâtre se referment sur un monde de surface.
Au théâtre se trouvent des personnages aux caractères divers. Tu évoques parfois, en nous la montrant dans différents moments de sa vie, ta chienne Sophie. Parfois il nous a aussi été donné de voir des enfants égayés sur tes blogues, une petite fille (peut-être la tienne) à la chevelure quasi mystique et gonflée de vent. J'ai déjà aperçu un magnifique cheval qui, par l'éclat de sa présence dans un contexte climatique d'une beauté poétique, sinon onirique, semblait appartenir à un conte médiéval. Et il a été fait mention, tout dernièrement, d'un homme que tu racontais être ton mari. Je t'avoue que je fus sidéré d'apprendre que tu étais mariée. Je m'étais, depuis que nous échangeons quelques courriels de temps à autre, rangé derrière l'idée solide comme un barrage que tu vivais seule dans ta maison, avec ta chienne Sophie. Par ailleurs, je n'ai jamais pu réellement souffler le nuage de mystère avec lequel tu voiles ta vie quotidienne, concrète. Tu t'entoures, délibérément ou non, je ne sais pas, d'un grand drap derrière lequel nous ne pouvons t'apercevoir. Ce que tu acceptes de placer sur tes blogues finit par aviver l'idée chez moi selon laquelle tu ouvres un chemin sur lequel tu espères que les visiteurs marcheront. Tu les diriges. Je parlais de théâtre. Au théâtre, tout est contrôlé, calculé, évalué.
Voilà ce que j'avais envie de te raconter aujourd'hui.
Bonne journée.
Au revoir.
Je visitais sur la base du hasard ton blogue que je connaissais beaucoup moins, La porte rouge (j'ai compris maintenant que ta couleur de prédilection est le rouge). Bien sûr, il s'agit d'un bien joli blogue, les photographies que l'on y retrouve, comme sur One silent winter, sont exquises et encadrées dans une esthétique qui balaie du revers de la main les bases du formalisme en tant que matériau d'expression. Il s'agit d'une fenêtre ouverte sur ton environnement immédiat et, parfois, plus élargie. Il s'agit, en réalité, de toi. Au moins une lézarde dans une partie de ta vie, et par laquelle, pour nous qui accédons à cet univers, tu te rends à certains égards transparente. Un peu comme le trou dans la serrure d'une ancienne porte. Une porte rouge, oui, si tu veux. Toutefois, cette présentation de la partie de ta vie que tu veux bien offrir suppose un travail de création. Une mise en scène, quoi. On prépare le terrain, on ajoute ceci, on retranche cela. Un peu comme un théâtre, non? Voilà, on pourrait dire que tes blogues prennent la forme d'un véritable théâtre muet. Des images circulent - je dirais même se structurent dans une sorte de parade -, elles passent, elles murmurent sur la base d'un frêle frémissement quelquefois, tu sais, comme une sensation rafraîchissante d'un amour nouveau, le frisson que sa pensée peut procurer en superficie du coeur. Théâtre, donc. Mais tout cet univers théâtral me paraît si construit, si bien aménagé, que j'en reçois aussi, par ailleurs, parfois, un sentiment de fragilité, comme si un filet de brise, un grain de sable qu'il apporterait jusque dans sa mécanique, l'ombre d'un nuage encore pourraient, à tout moment, jeter au sol cette architecture teinte d'un certain art, sinon la briser, du moins en disloquer la structure. Voilà, je sens une grande fragilité entourant l'univers de chacun de tes blogues. Un peu aussi comme une lumière de cristal: le soir finit toujours par survenir et tout se tait. Les rideaux du théâtre se referment sur un monde de surface.
Au théâtre se trouvent des personnages aux caractères divers. Tu évoques parfois, en nous la montrant dans différents moments de sa vie, ta chienne Sophie. Parfois il nous a aussi été donné de voir des enfants égayés sur tes blogues, une petite fille (peut-être la tienne) à la chevelure quasi mystique et gonflée de vent. J'ai déjà aperçu un magnifique cheval qui, par l'éclat de sa présence dans un contexte climatique d'une beauté poétique, sinon onirique, semblait appartenir à un conte médiéval. Et il a été fait mention, tout dernièrement, d'un homme que tu racontais être ton mari. Je t'avoue que je fus sidéré d'apprendre que tu étais mariée. Je m'étais, depuis que nous échangeons quelques courriels de temps à autre, rangé derrière l'idée solide comme un barrage que tu vivais seule dans ta maison, avec ta chienne Sophie. Par ailleurs, je n'ai jamais pu réellement souffler le nuage de mystère avec lequel tu voiles ta vie quotidienne, concrète. Tu t'entoures, délibérément ou non, je ne sais pas, d'un grand drap derrière lequel nous ne pouvons t'apercevoir. Ce que tu acceptes de placer sur tes blogues finit par aviver l'idée chez moi selon laquelle tu ouvres un chemin sur lequel tu espères que les visiteurs marcheront. Tu les diriges. Je parlais de théâtre. Au théâtre, tout est contrôlé, calculé, évalué.
Voilà ce que j'avais envie de te raconter aujourd'hui.
Bonne journée.
Au revoir.
Thursday, September 4, 2008
Monday, September 1, 2008
not sure what to say
i am pointing down, but i sure would like to go up
i do not know what to say
i am happier, i know it
i do not know what to say
i am growing, or is it opening
i do not know what to say
i like when blueberries stain my fingers
i do not know what to say
i think people are not scared of karma
i do not know what to say
why not
i do not know what to say
so i was wondering if you can say something...
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